Table des matières Table des matières
- La famille de Kim Sae-ron dément les éléments clés utilisés par les accusateurs
- Les « centaines de photos » n’existent pas
- La théorie du lien entre l’acteur et le décès totalement rejetée
- Avertissement sévère aux chaînes YouTube et médias en ligne
- Mise en demeure de l’avocat de la famille
- Une affaire qui bascule enfin vers la vérité
En ce 14 novembre 2025, après plus de 8 mois, que reste-il des accusations de la famille de Kim Sae-ron et du youtuber Garosero à l’encontre de l’acteur Kim Soo-hyun ? La famille semble désormais rétropédaler sur ses accusations et vouloir ne laisser porter le chapeau qu’à Kim Se-ui (Garosero). A ce stade, et toujours dans l’attente des résultats du NFS (National forensic service), qui doit prouver que les conversations et audios sont fabriqués, l’avocat de Kim Soo-hyun, Kho Sang-rock, prévient les plateformes en ligne d’une éventuelle tentative de récidive de diffusion de fausses preuves. On fait le point (comme presque chaque jour désormais !).

Un document d’une rare sévérité qui démonte point par point les accusations visant la star, tout en rappelant les risques légaux encourus par ceux qui continueraient à relayer des informations non vérifiées.
La famille de Kim Sae-ron dément les éléments clés utilisés par les accusateurs
Selon l’avocat Kho Sang-rok, la position récente de la famille de la défunte Kim Sae-ron, transmise via leur représentant légal Bu Ji-seok (lors d’une interview télévisée non encore diffusée, mais à laquelle le réprésentant de Kim Soo-hyun a eu accès) a fait l’effet d’un séisme dans le dossier. Ces déclarations contredisent directement l’ensemble des « preuves » mises en avant par certaines chaînes YouTube comme Gaseyeon et le commentateur Kwon Young-chan.
La famille affirme notamment :
- Ne jamais avoir dit que les photos diffusées dataient de la période où Kim Sae-ron était mineure.
- Ne disposer d’aucune preuve que le KakaoTalk de juin 2016 ait été écrit par Kim Soo-hyun (l’expéditeur apparaît comme « Unknown »).
- Que la capture du 13 avril 2018 est tronquée et impossible à attribuer à qui que ce soit.
- N’avoir jamais pensé ni affirmé que Kim Soo-hyun était lié au mal-être ou au décès de la défunte.
Autrement dit : la source même des accusations détruit désormais les fondements de l’affaire.
Les « centaines de photos » n’existent pas
L’avocat reprend, point par point, les trois éléments utilisés pour attaquer l’acteur :
Les photos intimes présentées comme preuves d’une relation avec mineure ? Elles datent toutes de 2019-2020, période où les deux protagonistes étaient adultes.
Le KakaoTalk de 2016 présenté comme un message de l’acteur ? Il s’agissait en réalité d’une conversation de la défunte avec un autre homme.
Le KakaoTalk de 2018, utilisé comme argument émotionnel ? Il ne contient aucun expéditeur identifiable, et n’a donc aucune valeur.

Il n’y a aucune raison pour nous de continuer à utiliser des documents fabriqués qui n’ont rien à voir avec l’acteur Kim Soo-hyun. » – Kho Sang Rock sur Threads
Ces révélations « correspondent exactement à ce que nous avions déjà affirmé », souligne l’avocat Kho Sang-rock, rappelant que l’ensemble des accusations reposait sur une présentation trompeuse ou décontextualisée des documents.
La théorie du lien entre l’acteur et le décès totalement rejetée
L’un des axes les plus graves des accusations était l’idée que Kim Soo-hyun aurait « poussé » la défunte au suicide, notamment en la pressant de rembourser une dette de 700 millions de wons qu’elle avait auprès de son agence Gold Medalist. La famille réfute catégoriquement toute relation entre l’acteur et les circonstances du décès.
Cette position, désormais publique, fait s’effondrer « la totalité des prémisses essentielles des fausses accusations », selon Kho Sang-rock.
Avertissement sévère aux chaînes YouTube et médias en ligne
Dans son communiqué diffusé sur YouTube, l’avocat adresse une mise en garde directe :
- Toutes les chaînes YouTube ayant diffusé des documents privés sans consentement, même déjà rendus publics, s’exposent à des poursuites civiles.
- La diffusion ultérieure de ces documents pourra conduire à des actions pénales, selon la gravité des cas.
- Les contenus susceptibles d’avoir été manipulés, en particulier ceux concernant la vie privée de l’acteur, peuvent entraîner des responsabilités juridiques supplémentaires.
Il vise explicitement : Garosero, la chaîne de Kwon Young-chan, et certains YouTubeurs avocats, les invitant à agir avec une extrême prudence désormais que « la vérité est révélée, et que les accusations d’intérêt public ne tiennent plus ».

Mise en demeure de l’avocat de la famille
Autre fait notable ce jour, Kho Sang-rock annonce avoir fait parvenir un courrier recommandé a également à l’avocat Bu Ji-seok lui-même, afin de :
- l’alerter sur les risques d’actes supplémentaires pouvant constituer une “deuxième agression”,
- exiger l’arrêt de toute communication ou contact inapproprié avec les chaînes en ligne ayant contribué à la diffusion des rumeurs.
Il invite également les médias à redoubler de prudence lorsqu’ils envisagent des interviews ou contacts avec lui.
Une affaire qui bascule enfin vers la vérité
Le communiqué se conclut sur une affirmation forte : « Maintenant que la position de la famille endeuillée a été clairement établie, il est probable qu’un affrontement autour de la vérité se poursuive entre la famille et Kim Se-eui, et nous attendons des autorités qu’elles en déterminent les faits avec précision. Toutefois, indépendamment de cela, puisque la position de la famille, source première de toutes les informations, est désormais connue, l’essentiel de la structure du cybercrime lié à cette affaire est désormais exposé au grand jour. »
Avec cet avertissement public, Kim Soo-hyun marque une étape majeure dans sa défense : non seulement les accusations ont été démontées point par point, mais les diffuseurs de fausses informations sont désormais prévenus qu’aucune tolérance ne sera accordée.
Que reste-t-il donc de toutes ces accusations et de cette affaire ? Il semble opportun de répondre en cette mi-novembre : rien. D’ailleurs, les marques dont il était l’égérie et qui commencent à comparaitre devant la justice ont toutes le même retour de la part de la court : « Veuillez préciser clairement les motifs de la résiliation du contrat. ».
Désormais, il ne reste plus qu’à la justice (et aux résultats NFS) à définitivement blanchir le nom de Kim Soo-hyun, qui aura tout de même perdu au moins 1 an de sa vie à cause de ces accusations. La Corée du sud a encore un long chemin à faire sur les problèmes de cancel culture.
